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AIRSOFT : DANS LA PEAU D'UN REPORTER DE GUERRE

 

La progression est lente, méthodique. L’oreille alerte, les yeux écarquillés : tout autour, des mouvements furtifs agitent les hautes herbes. Au-dessus de nos têtes, les balles fusent. Les victimes, les mains au-dessus de la tête et l’arme en évidence, disparaissent une à une du terrain de jeu. Le but est proche... Tout à coup, tout bascule. "C’est bon, c’est fini les gars !" Pris à revers, comme des débutants.

Autour du barbecue qui anime la pause-déjeuner, Arold, gérant d'un magasin spécialisé, pose les bases de son passe-temps : "Ce jeu est un lointain cousin du paintball. On évolue avec des répliques d’armes à feu qui tirent de petites billes en plastique, avec une portée de 40 à 45 mètres. Si la discipline est réservée aux seules personnes majeures, il n’y pas beaucoup de risques : en général, on termine la partie avec davantage de griffures de ronces que de marques de balles sur le corps !"

Rencontre sous le feu des mitraillettes avec les fans d'airsoft réunis à Fournes-en-Weppes, dans le Nord.

 

 

AIRSOFT : DANS LA PEAU D'UN REPORTER DE GUERRE - Fournes-en-Weppes, 2013

AIRSOFT : DANS LA PEAU D'UN REPORTER DE GUERRE - Fournes-en-Weppes, 2013

AIRSOFT : DANS LA PEAU D'UN REPORTER DE GUERRE - Fournes-en-Weppes, 2013

AIRSOFT : DANS LA PEAU D'UN REPORTER DE GUERRE - Fournes-en-Weppes, 2013

AIRSOFT : DANS LA PEAU D'UN REPORTER DE GUERRE - Fournes-en-Weppes, 2013

AIRSOFT : DANS LA PEAU D'UN REPORTER DE GUERRE - Fournes-en-Weppes, 2013

© 2023 par Sylvain Moreau.

 

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